Why Alternative Cancer Treatment
Les graves effets secondaires potentiels du traitement du cancer
Entérite et rectite radique chronique, mort de malnutrition ou d‘AVC etc.
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Mis à part les effets secondaires potentiels de la chimiothérapie, la radiothérapie (traitement aux rayonnements ionisants) & la chirurgie mieux médiatisés tels que les nausées, la perte pondérale et des cheveux ainsi que la fatigue physique, voici quelques observations cliniques et complications potentielles et très graves dont vous devriez être au fait avant de vous soumettre aux protocoles thérapeutiques du cancer recommandés par un oncologue conventionnel.
Veuillez noter que cette liste d'effets secondaires potentiels et rarement mentionnés n'est pas exhaustive (loin de là puisqu'il y en a d'autres).[1]
- Rectite radique chronique
- Entérite radique chronique
- Radiotoxicité tardive de l'irradiation du thorax
- Accident vasculaire cérébral après radiothérapie
- «Risques» de la radiothérapie du cerveau
- Douleurs névralgiques sévères et insuffisance rénale latente suite à l’exposition aux rayonnements
- Radiothérapie et arriération mentale
- Radiothérapie post-opératoire et risque de métastases
- Douleurs extrêmes après chirurgies multiples
- Ostéonécrose de la mâchoire
- Manque de mémoire, tendance à l'oubli
- Diverses séquelles graves des traitements du cancer conventionnels
- Addendum important : au sujet du pouvoir de l'esprit humain
- D'autres effets secondaires sérieux (informations en anglais)
Entérite radique chronique
Radiotoxicité aiguë et/ou tardive (inflammation de l'intestin grêle) suivant un traitement de l'abdomen, du bassin ou du rectum aux rayonnements ionisants, qui se manifeste sous la forme de diarrhées constantes.
“L'intestin grêle et le côlon sont très sensibles aux rayonnements ionisants. Il est vrai que la probabilité de maîtriser la tumeur va grandissant avec la dose de radiations délivrée, mais les dommages portés aux tissus sains s'accroît dans la même mesure.
Les radiolésions précoces de l'intestin grêle et du côlon apparaissent à approximativement 1000 cGy, tandis que pour grand nombre de tumeurs abdominaux ou du bassin les doses curatives se situent entre 5000 et 7500 cGy, de sorte que la quasi-totalité des patients développent des symptômes d'entérite radique aiguë.
Une entérite radique chronique peut se produire des années après une radiothérapie ou peut commencer comme une entérite radique aiguë qui finit par devenir chronique. Il n'y a que 5 à 15% des personnes traitées aux rayonnements à l'abdomen qui développent des problèmes chroniques. [“SEULEMENT?"]
... Généralement parlant, plus haute la dose journalière totale délivrée à l'intestin normal et plus grande la surface de l'intestin normal traitée, plus grand le risque d'entérite radique.” (National Cancer Institute des États Unies)[2]
Rectite radique chronique
Inflammation du rectum et de l'anus suite à un traitement du bassin par radiation qui survient de plus en plus couramment (en 10 à 20% des patients traités) dû à l'utilisation courante de la radiothérapie pour le cancer pelvien (ovarien, de l'utérus etc.). La complication la plus sérieuse de la rectite radique sont les saignements répétés invalidants auxquels la médecine conventionnelle n'a pas de réponse sauf la chirurgie mutilante.
La médecine alternative propose un régime quotidien des vitamines antioxydantes E et C dit de réduire ou d'éliminer l'inconfort et les douleurs associés à une rectite chronique radique. Mais ça ne marche pas à tous les coups, voir le témoignage suivant :
“...dans notre groupe il y a un patient qui a été traité par radiation pour un cancer du prostate. Maintenant, il souffre d'une sévère rectite accompagnée de douleurs extrêmes. Même après plusieurs semaines de traitement à hautes doses de vitamines C et E, ses douleurs ne sont que très peu soulagées.”[2]
Radiotoxicité tardive de l'irradiation du thorax (études scientifiques en anglais) : crises cardiaques, douleurs, lymphœdème («gros bras»), restriction du mouvement
- Long-term cardiac morbidity and mortality in a randomized trial of pre- and postoperative radiation therapy versus surgery alone in primary breast cancer
L'étude ci-dessus publiée dans Radiotherapy and Oncology: Journal of the European Society for Therapeutic Radiology and Oncology (août 1998) a conclu que ses resultats «montraient une corrélation positive entre les décès d'origine cardiaque et le volume de dosage cardiaque.
Les patients ayant reçu des doses-volumes élevées montraient un taux de mortalité élevée de cardiopathie ischémique. ... ce qui suggère un autre mécanisme tel qu'une atteinte du cœur au niveau microvasculaire due aux rayonnements.»
En fait «les patients ayant reçu la dose la plus élevée de radiothérapie avaient une hausse de 30% en insuffisance cardiaque, une hausse de 100% de décès dus aux maladies cardio-vasculaires, et une hausse de 150% de décès dus à la cardiopathie ischémique.» - Late Toxicity of Radiotherapy: A Problem or a Challenge for the Radiation Oncologist?
L'étude ci-dessus publiée dans Breast Care, Bâle, Suisse (2011), conclut que «la radiothérapie peut à un certain degré provoquer des douleurs persistentes à la poitrine, au bras et à l'épaule en 30–50% des patients après 3–5 ans, un lymphœdème en 15–25%, et des restrictions de la mobilité du bras et de l'épaule en 35% des cas.»
Accident vasculaire cérébral après la radiothérapie
(témoignage anonyme) «Ma grand-mère avait un cancer du sein et a fait une radiothérapie. Je n'ai appris que plusieurs années plus tard qu'un des effets secondaires des rayonnements sont les attaques cérébrales (une des études pertinentes a été publiée dans The Lancet).
De cette manière, ceux qui meurent d'un accident vasculaire cérébral n'entrent pas dans les statistiques des morts dues au cancer et "le taux de décès par cancer a diminué grâce à la radiothérapie" - mails il y a plus de morts dues à des attaques cérébrales induites par le même traitement, mais de cela, on se garde bien de nous informer.
Si j'avais su, ma grand-mère n'aurait jamais fait une radiothérapie. On a réussi à la sauver du Tamoxifène [lien en anglais - apparemment le tamoxifène augmente le risque d'un cancer abdominal par 540%] et elle l'a refusé quand le docteur le lui a donné. Et elle a refusé d'avoir ses ganglions lymphatiques enlevés étant donné que cela permet au cancer d'essaimer. Mais on ne connaissait pas les traitements alternatifs, ni la connexion entre les attaques cérébrales et les rayonnements.
Ma grand-mère est décédée d'un accident vasculaire cérébral. Je suis sûr que c'était dû aux traitements. L'ignorance est notre tragédie.»
Radiothérapie post-opératoire et risque de métastases
Le Professeur Thomas Dao, ancien directeur du rayon chirurgie mammaire du Roswell Park Cancer Institute (Buffalo, NY), fit des recherches sur les effets de la radiothérapie post-opératoire après mastectomie sur une période de cinq ans.
Entre plusieurs centaines de patientes non-irradiées, 14 pourcent dévéloppèrent des métastases aux poumons et 34 pourcent des métastases de la peau. Dans un groupe comparable mais qui fut traité par radiation, 37% dévéloppèrent des métastases pulmonaires et 52% des métastases de la peau. En d'autres termes, la radiothérapie post-opératoire approximativement doubla le risque de dévélopper des métastases.
"Risques" de la radiothérapie du cerveau
Les tumeurs qui essaiment dans le cerveau (à partir de certains cancers du poumon, du côlon, de cancers pulmonaire, mammaire ou rénal, et du mélanome) ne réagissent généralement pas à la radiothérapie. En dépit de ce fait, celle-ci est largement utilisée pour les patients aux soi-disant métastases intracrâniennes (voire "à titre prophylactique").
Suivant une radiothérapie du cerveau, les patients ont une durée de survie médiane attendue de trois à quatre mois. De nouveaux tumeurs métastatiques peuvent se former dès que la radiothérapie du cerveau est arrêtée.
Les effets secondaires immediats incluent la perte des cheveux, les nausées et vomissements, les dermatites, l'otite moyenne aiguë, l'œdème cérébral et la léthargie.
Les effets secondaires à long terme ou permanents peuvent inclure la démence (qui affecterait 11% des survivants après un an et 50% après deux), la perte de mémoire, les défauts de la prononciation, la perte de la vue, la leucœncéphalopathie (une maladie de la substance blanche du cerveau), et la nécrose radique du cerveau (où les cellulles saines sont tuées).
La radiothérapie du cerveau peut changer les papilles gustatives (les aliments perdent leur goût), et la personne pourrait ne plus avaler (bouche sèche) et aller à la selle sans assistance.
Note : la perte de l'appétit et/ou des sensations gustatives peuvent également intervenir après d'autres types de radiothérapie.
Douleurs névralgiques sévères et insuffisance rénale latente suite à l’exposition aux rayonnements
(témoignage anonyme) Un homme atteint d'un cancer agressif de la gorge était traité par radiothérapie au côté droit de son cou ce qui détruisait la tumeur. Plusieurs années après, une maladie dégénérative causant d'importantes atteintes de ses vertèbres droites (C4, C5, C6) qui ne cessaient d'empirer fut constatée par ses médecins : le rétrécissement du diamètre de la lumière de ces vertèbres causait une compression nerveuse qui à son tour induisait de sévères douleurs névralgiques et une mobilité réduite.
Ses docteurs avaient pour seule réponse des analgésiques et antispasmodiques à doses toujours croissantes. Une insuffisance rénale latente (due sans doute aux médicaments) fut confirmeée par tests sanguins.
Étape suivante probable : l'hospitalisation.
Le Dr. Johannes Kuhl [lien en anglais et en allemand] a rapporté que les rayonnements massifs pourraient déclencher des névralgies très douloureuses et de longue durée (souvent loin de l'endroit irradié) ainsi que des ulcères de la peau et des muqueuses.
Radiothérapie et arriération mentale
www.cancertutor.com/Other/Brain_Cancer.html rapporta le cas d'une femme atteinte d'un cancer du cerveau. Le traitement par radiothérapie lui ôta ses capacités intellectuelles. Après coup, le radiologue admit que selon toute probabilité son traitement était inutile. La femme mourut.
Douleurs extrêmes après chirurgies multiples
Un témoignage : «J'ai eu deux césariennes (incision horizontale) et deux incisions verticales dues à des opérations pour traiter un cancer. On ne m'a pas informée des ramifications de la chirurgie. Je souffre d'extrêmes douleurs lancinantes là où les incisions ont été faites et à l'intérieur de la cuisse, et l'extérieur de ma cuisse et mes fesses brûlent d'une douleur constante pendant la nuit.
J'ai appris que c'est tout à fait "standard" après de multiples opérations. La douleur vient du tissu cicatriciel excessif et des adhérences postopératoires. À ces endroits mes nerfs collent ensemble. C’est affreux. Les chirurgiens ne soufflent mot que ça pourrait arriver. Je ne peux pas me tenir debout pendant plus de 10 minutes sans souffrir une douleur atroce.
Je me souviens du dernier CT-scan en novembre 2006. Le docteur m'a dit que j'avais un "bazar" au lieu du bassin.
Réfléchissez donc bien avant de vous séparer d'une partie de votre corps par chirurgie. Ma souffrance est terrible.»[3] (Auteure connue de Healing Cancer Naturally)
L’ostéonécrose de la mâchoire, associée aux bisphosphonates ou due à la chimiothérapie ou la radiothérapie
Un autre effet secondaire potentiel et particulièrement grave observé parmi les cancéreux sous traitements tels que la chimiothérapie, l'irradiation de la tête et du cou et surtout les bisphosphonates intraveineux contre les métastases osseuses, est la destruction de l'os de la mâchoire.
Les bisphosphonates pénètrent et s'installent dans les tissues osseuses de sorte que le risque de dévélopper une ostéonécrose est encore élevée plusieurs années après l'administration du médicament.
Une ostéonécrose de la mâchoire peut être induite par les extractions de dent[4], par d'autres opérations ou blessures dans la région de la mâchoire, les prothèses mal ajustées, les maladies parodontales et autres inflammations orales, les médicaments réduisant la circulation de sang, trop d'alcool, le tabagisme etc.
Un exemple : en 2003 un homme eut un diagnostic de carcinome des tonsilles. Suivant une ablation «couronnée de succes» plus chimio- et radiothérapie, il n'est pas surprenant qu'en 2004 il fit une rechute. Une nouvelle fois, il fut traité aux doses les plus hautes possibles de chimiothérapie et de radiothérapie.
En janvier 2009, le dentiste lui enleva deux dents (sans administrer des antibiotiques). C'est à ce point que la destruction de l'os de sa mâchoire commença. Même l'excision de l'os nécrotique ne put pas arrêter le processus enclenché. Au mois de décembre 2009, il n'était plus capable d'ouvrir la bouche pour manger et n'arrivait qu'à absorber des aliments en purée. Sa mâchoire inférieure gonflait et la cicatrice laissée par l'opération rouvrit.
Manque de mémoire, tendance à l'oubli dû au «brouillard de la chimio» («déficience cognitive induite par chimiothérapie - DCIC»)
Une étude de l'Université de Californie à Los Angeles a montré que la chimiothérapie cause des changements dans le métabolisme et la circulation sanguine du cerveau pouvant persister au moins dix ans après traitement. Rapporté le 5 octobre 2006 dans la version Web du journal Breast Cancer Research and Treatment, ces découvertes pourraient expliquer la confusion et disruption cognitive subséquente à la chimiothérapie qui affectent un grand nombre de patients.
Les personnes vivant les symptômes du «brouillard de la chimio» ou «cerveau chimio» décrivent souvent une baisse d’attention et de concentration, une perte de mémoire et des problèmes de fonctionnement multitâches ainsi que d'autres symptomes (tels que problèmes d’aptitudes spatiales, difficultés de prises de décisions et d’énonciation, une altération de l’humeur et du bien-être, des changements de la coordination et des fonctions motrices).
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Notes
1 See "official" websites such as www.chemocare.com, the ample content of which is provided by the Cleveland Clinic Cancer Center. The chemotherapeutic drugs and their side effects listed there range from 13-cis-Retinoic Acid to Zometa ®, with dozens of more drugs in-between (also includes an alphabetical listing by acronym).
2 For advice regarding relief, see Combatting radiation poisoning tips and Radiation burns treatment. Also compare What to do when the digestive tract has been damaged by chemotherapy: “Chemotherapy can destroy a person's stomach lining and the lining of their intestines. ...Many cancer patients die of malnutrition, long before they die of cancer, because chemotherapy has destroyed the lining of their digestive system and they literally die of nutrient starvation.”
3 For possibly very effective advice, see Help with painful adhesions after abdominal surgery. Also compare Surgery risks (real-life stories & advice on how to reduce one’s chances of incurring serious side effects from cancer and other surgery) and On Avoidable Suffering.
4 Voir information en anglais sur les dangers des extractions sous tooth extractions.
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